Film d'animation en stop motion (9'45)
Réalisé par Hervé Bacquet
Assemblage : Arnaud Curie
Dessins réalisés d'après des graffitis reproduits dans le livre
Graffitis et bas-reliefs de la Grande Guerre
Textes : Gilles Prilaux
Photographies : Dominique Bassut
Éditions Inrap, 2018
Le grand collisionneur
Dessin animé en stop motion (4'46)
Un film de Hervé Bacquet
Montage et étalonnage : Arnaud Curie
Retouches images : Julianne Sibiski
Création sonore et mixage : Adrien Bacquet et Jérôme Lorichon
Le point de départ de ce film a été le Grand collisionneur de hadrons mis en service en 2008 et que j'ai eu la chance de visiter au CERN. Voir ces immenses détecteurs m'a amené à interpréter intuitivement la notion d'engloutissement. J'ai souhaité faire se rencontrer des contraires, c'est-à-dire donner à voir la relation entre matière et antimatière et pratiquer le dessin d'une manière élémentaire : tracer une ligne sur une feuille de papier 21 x 30 cm avec un crayon et une gomme.
Le premier mouvement de ce dessin animé est une suite d'ellipses et d'éclipses, puis ces particules graphiques s'échappent; cet effet d'apesanteur est particulièrement mis en évidence par la bande-son réalisée par Adrien Bacquet et Jérome Lorichon. Merci à Michael Hoch qui m'a accueilli au CERN et qui m'a permis de rencontrer des scientifiques et des artistes qui ont également investi ce domaine de recherche.
The starting point for this film was the Large Hadron Collider commissioned in 2008 and which I had the chance to visit at CERN. Seeing these immense detectors led me to intuitively interpret the notion of engulfment. I wanted to bring opposites together, that is to say, to show the relationship between matter and antimatter and to practice drawing in an elementary way : draw a line on a sheet of 21 x 30 cm paper with a pencil and eraser.
The first movement of this cartoon is a series of ellipses and eclipses, then these graphic particles escape ; this effect of weightlessness is particularly highlighted by the soundtrack produced by Adrien Bacquet and Jérome Lorichon. Thanks to Michael Hoch who welcomed me to CERN and who allowed me to meet scientists and artists who have also invested in this area of research.